Notre Organisation
Ce site comporte un bref descriptif des activités et de la pratique spirituelle de notre organisation. Comme tout autre chemin spirituel, Sūkyō Mahikari consiste en une démarche visant essentiellement à se rapprocher de Dieu.
Sūkyō se réfère aux « lois de l’univers établies par Dieu à l’époque de la Création afin que tout dans la Création puisse prospérer éternellement » et Mahikari signifie « Lumière de Vérité », la Lumière de Dieu, qui purifie l’aspect spirituel de tout ce qui existe. En recevant la Lumière de Dieu, on peut s’éveiller plus facilement à l’existence de Dieu, de la Lumière de Dieu et du monde spirituel invisible.
En aidant à approfondir la compréhension des principes divins et du plan de Dieu, Sūkyō Mahikari a la conviction qu’un plus grand nombre de personnes sur terre voudra s’unir pour œuvrer afin de réaliser l’objectif du plan divin : établir sur terre une civilisation centré sur Dieu, où tous pourront connaître la paix et l’harmonie.
Structure de l’organisation
La Maison-mère de l’organisation est située à Takayama au Japon. En dehors du Japon, les centres de Sūkyō Mahikari sont regroupés autour de centres régionaux pour les régions Europe-Afrique, Amérique latine, Amérique du nord, Australie-Océanie et Asie. Des centres de Mahikari existent dans plus de soixante-quinze pays.
Responsabilités dans l’organisation de Sūkyō Mahikari
Un cycle d’études est organisé pour les personnes souhaitant assumer des responsabilités dans l’organisation de Sūkyō Mahikari.
Historique de Sūkyō Mahikari
La première organisation de Mahikari a été fondée par Kôtama Okada le 28 août 1959, pour promouvoir la pratique de l’Art de Mahikari, conformément à une révélation qu’il avait reçue de Dieu Créateur le 27 février 1959.
Le désir profond de Kôtama Okada était d’aider l’humanité à vivre d’une manière spirituelle, davantage centrée sur Dieu et basée sur les principes de l’univers établis par Dieu lors de la Création. C’est en agissant dans ce sens, qu’il croyait possible de réaliser le souhait de Dieu pour l’humanité, à savoir l’établissement d’un paradis sur terre, d’un monde de paix et d’harmonie. Kôtama Okada disait que rien ne donne plus de joie à Dieu que de voir Ses enfants heureux d’œuvrer ensemble dans l’harmonie et de mener une vie pleine de signification.
Mahikari s’est répandu à partir de Tokyo dans tout le Japon puis à l’étranger. En 1971, Mahikari a été introduit en Europe et de là en Afrique et aux Antilles.
Le 13 juin 1974, Kôtama Okada a nommé sa fille adoptive, Keishu, comme second guide spirituel (“Oshienushi”), conformément à une révélation de Dieu. Dix jours plus tard, le 23 juin 1974, Kôtama Okada est décédé.
Peu de temps après, cependant, il y eut une confusion et des malentendus au sujet de la succession dans l’organisation. M. Sakae Sekiguchi, un directeur senior de l’organisation de Mahikari de l’époque, a effectué une action en justice pour soutenir sa revendication selon laquelle il aurait été le véritable successeur de Kôtama Okada.
Le 23 juin 1978, Keishu Okada a annoncé qu’elle établissait officiellement Sûkyô Mahikari en tant qu’organisation religieuse et qu’elle en prenait la tête en tant que leader spirituel. La première priorité de Keishu Okada était alors de construire Suza, le Temple mondial (« Sekai so Honzan »), où se trouve l’autel dédié à Dieu Créateur.
En juillet 1982, la Haute Cour de Tokyo a recommandé qu’il y ait un accord amiable entre M. Sekiguchi et Keishu Okada. Ils ont alors convenu de se respecter mutuellement et de ne pas interférer dans leurs activités réciproques.
Le 3 novembre 1984, Suza a été inauguré par Keishu Okada à Takayama, dans la préfecture de Gifu au Japon.
Le 3 novembre 2009, à l’occasion de la cérémonie du Cinquantième Anniversaire de Sûkyô Mahikari à Suza, M. Kôô Okada, qui était le guide spirituel suppléant depuis le 5 octobre 2002, devint le troisième guide spirituel (“Oshienushi”).
Au sein de l’organisation, Kôtama Okada est habituellement appelé Sukuinushisama ; Keishu Okada, Seishusama ; et Kôô Okada, Oshienushisama.
Des initiatives pour la protection de l’environnement et de la nature sont également encouragées, telles que celle d’éviter le gaspillage, de respecter et de travailler avec la nature, etc.
Toutes ces pratiques visent à aider les personnes à poursuivre leur développement spirituel et à assumer leurs responsabilités en tant que membres de la société, ainsi qu’en tant que « citoyens du monde ».
La participation à ces pratiques de base a pour but de revitaliser son esprit, son mental et son corps physique, et d’avancer ainsi progressivement dans son élévation spirituelle.